Le lac

Le Lac d’Aureilhan

 

D’une superficie de 332 hectares, le lac d’Aureilhan s’étend sur trois communes : Aureilhan, Mimizan et Saint-Paul en Born. Maillon le plus en aval de la chaîne des grands lacs nord-landais, il possède le plus grand bassin versant dont les trois principaux tributaires sont : le courant de Sainte-Eulalie, le Canteloup et l’Escource. Son exutoire, le courant de Mimizan, permet l’évacuation des eaux vers l’Océan Atlantique.

D’une qualité écologique remarquable, il est intégré au site classé Natura 2000 des Zones humides de l'arrière dune du Pays de Born et bénéficie d’aménagements répondant aux contraintes réglementaires tout en respectant son patrimoine naturel.

Il fait partie des atouts touristiques du territoire, avec plusieurs plages et structures d’hébergement ou de loisirs implantées sur ses rives, et devient une zone très fréquentée l’été, notamment avec les activités nautiques. Ainsi, pour préserver la qualité du site le droit de navigation a été revu en 2009 et des zones d’ancrage délimitées. Elles font partie intégrante du règlement de navigation affiché sur les zones de mise à l’eau et en mairie. Il complète l’arrêté préfectoral en vigueur régissant les usagers sur la plan d’eau.

 

 

Enquête de fréquentation

Afin de connaître les pratiques et les attentes des utilisateurs du lac, la Communauté de Communes de Mimizan a réalisé une enquête du 1er août au 31 octobre 2019.

Cette étude a été réalisée dans le cadre du projet de recherches AquaVIT (« Quand les plantes aquatiques invasives transcendent les frontières des lacs Aquitains »), coordonné par INRAe Bordeaux, soutenu financièrement par la région Nouvelle Aquitaine et l’INRAe.

323 personnes ont été entendues, comprenant de façon équitable résidents principaux et touristiques. Ce qui a permis de mieux connaître :

  • les usages (activités, moyens de déplacement, fréquence de visites) et la relation générale des individus au lac, leur ancienneté et leur expérience ;
  • les facteurs d’attractivité, leur opinion sur les conditions d’accueil, l’état du milieu, y compris les menaces perçues ;
  • la connaissance, perceptions des plantes aquatiques invasives.

>>>> Découvrir les résultats de l'enquête ici !